NELSON

VIN DE FRANCE

Cépage

GAMAY

VINIF

PURE CARBONIQUE

A BOIRE AVEC

DES PASTAS PURES CARBONARAS

NELSON c’est une drôle d’histoire.  A RETROUVER  en cliquant ICI

Suggestion de présentation

NELSON est aussi un art de vivre.

Une sorte de philisophie. Ou comment se faire des copains bourguignons rapidement, grâce à un blog tenu par un homme mi gorille, mi garçon, mi chaton.

Comment faire partie des  chats les plus « cool » du groupe.

Faire du Nelson, c’est par exemple tendre la patte pour attraper le saumon et regarder en même temps droit dans les yeux. (Ou dans l’oeil, du coup).

NELSON c’est un art de vivre. (X2)

C’est la philosophie du mâchon.

Peu importe quel métier tu fais ou ton pouvoir d’achat, ou si tes parents ont une baraque à la Baule, ou une ZX break à Bobigny…. On se retrouve tous autour de la bouteille pour faire un casse dalle.

NELSON c’est l’art de charmer.

De passer, même si on t’a dit non.

NELSON c’est un bon pote. Il est toujours content. Ce vin c’est pour les inconnus, les futurs bons potes.

Parce qu’il y a une différence entre faire et parler.

BAC + 5  en Management ne fait pas forcément de toi un meneur d’hommes.

NELSON c’est la sempiternelle  lutte entre ceux qui parlent fort et ceux qui parlent vrai.

NELSON c’est savoir la différence entre avoir des idées sur tout et surtout des idées.

Faire la différence entre un succès certain et un certain succès.

Imaginer la vie, l’amour et les femmes comme un moteur…

Des fois je mets un polo Lacoste, je fais semblant d’être riche. Nelson c’est pas marqué Beaujolais, pour faire semblant d’être plus  prestigieux.

C’est l’art du camouflage du Gamay.

C’est quand tu dis que tu ne roules que Volkswagen mais que personne se doute que tes voitures datent de 1992 avec 350000 km.

L’art de braquer les banques ou le palais, ou le repas, sans arme ni haine ni violence.

Ca colle avec des Spaghettis,

Mais pas avec des spaghettis qui collent.

Comme un air de SPAGGIARI.

L’art d’être heureux avec rien, de prendre tout ce qui passe, de ne chercher que le meilleur.

Et puis si c’est pas le meilleur bah tant pis, c’est cool quand même.

Nelson, c’est l’art de se camoufler.

D’avoir le terroir sous les NIKE AIR.

De bricoler ta tire sur le parking, d’avoir les mains pleines de cambouis,

De faire le mec détaché,

qui se fiche de l’amour mais qu’a la tête genre charivari.

 Quand j’ai un putain de blues,

Je tue un ours à mains nues,

pour reprendre du poil de la bête.

C’est l’art de te balader devant sa fenêtre, même si elle tire les rideaux.

L’art de lui ramener une souris même si elle te snobe en te soufflant.

L’art de faire doigts d’honneur en arrière plan photo.

C’est l’art d’être gentleman, de se faire passer pour un mec instruit en portant des lunettes.

C’est l’art d’être poli.

L’art de se laisser passer pour un con, pour faire le tour par la colline de la Boissière.

L’art d’être insolent mais pertinent.

De gagner que quand t’as envie, et quand tu perds tu dis que t’avais juste pas envie.

L’art d’être le dernier, de faire croire que t’es le premier.

D’être le dernier sur la colline à pouvoir te dire d’aller te faire foutre.

Y’a plus un chat dans le quartier, mais après un temps un autre.

J’suis là je scrute sur le balcon.

Au bout des doigts j’ai de la corne,

Dedans mon coeur j’ai de l’écorce.

Pour ceux qui boitent,

qu’ont un oeil qui part en couilles,

toujours devant quand y’a embrouille.

L’art de se foutre de la recession,

De taper des balles sur les hauteurs de l’appellation.

Nelson,

l’appellation,

une félonie.

Balek.

Du Beaujo,

j’en parle bien

grimé à la Spaggiari.

NELSON, AMOUR ET MÂCHON,

PASTA ET BASTON.

A part ça qu’est-ce que je voulais dire,

c’est pour le meilleur et pour le pire.