UNFILTERED
Les soucis m’occupent comme des étudiants à Tolbiac.
Et tout ça j’évacue avec du gamay à jus blanc comme du CRS à matraque.
Je ne connais que des chauds, des chauds de la nique,
toujours chauds pour s’ battre.
Quand je vous écoute, on dirait toujours
que vous naviguez sur des rivières de chattes.
Je te souhaite
L’enfer sur terre ou de l’amour sur toi,
Si tu veux les deux en même temps
Reprends un bout de cake (ké).
Boire un bon thé ou un bon café.
Ramasser un trèfle à quatre feuilles.
J’ai du bon gamay dans ma tabatière.
Ici faire du bon vin y’a matière.
Les romantiques, d’avance sont morts.
Il suffit de le savoir, c’est tout.
La poudre du tiramisu me fait
tousser.
De près ou de loin tu ne m’as jamais vu
et tu ne me verras jamais
le nez dans la chnouffe ou la weed au bec.
Je suis de la génération Sauvés par le gong
Pogs et Weetabix.
Je crèverai comme ça,
y’a que mes écrits aux sonorités invectives.
Sur les culottes de ta grande soeur
peut être mes empreintes digitales,
mais sur ton nez
à vie,
mes parties génitales.
Comme un gamin devant Coluche et Inspecteur La Bavure,
Sangohan et sa bravoure.
Un Moulin à Vent glorieux et rageux
L’oiseau est dans la cage,
Mes démons sont dans la cave.
A force de se croire tout permis,
nos âmes deviennent perméables,
Ca me rappelle quand j’suis dans les vignes
sous la pluie, et que les premières gouttes
font Ploc sur mon imperméable.
Attention Mesdames et Messieurs,
Dans un instant
L’orage va commencer .
Mon existence alterne entre isolement
et communauté.
J’aime pas les gens.
Au Beaujolais j’ai prêté allégeance.
Mon amour naïf et béat,
et j’ai rêvé sur la chatte à Béatrice mais elle ne m’aimait pas,
Du coup j’exècre tes mots fléchés,
tes Sudoku,
Je vous abomine, tu m’as trop embobiné, comme la politique.
Comme pour bien dormir, tirée par les veuch
t’avais la tête au Nord et
Patrice au cul.
Et parfois je me sens comme une vache qui regarde passer les trains.
Je ne veux que toi et tes étreintes.
D’ailleurs la vache me fascine, elle et ses 4 estomacs
Quant à nous les mecs il faut qu’on soit 4 pour faire 1 cerveau parfois.
L’amour et ses tourments
Imola et ses tournants.
Je ne plaisante ni avec la mort ni avec l’amour.
Alors je ne préfère rien dire.
Je préfère écrire.
Et tu préfères mon Brouilly ou la pointe de ma Cote de Brouilly?
Y’a comme un air de Michel Piccoli.
Sers moi un verre Brigitte,
bordel.
Je suis un rouge gorge et Toi l’hirondelle.
Je t’annonce la couleur, t’annonces le printemps.
J’ai le devoir de monter la pente,
me mettre au milieu des lions.
Le doute m’assaille,
mais mon beaujolais nouveau
s’appelle MASSAÏ.
A Paris j’ai moins peur de la Police que de la fourrière.
Plus tu me cries dessus, et plus je fous rien.
Ta ménorragie , et quand t’es partie avec lui j’ai pas réagi.
Une aménorrhée, de mots doux, (je les ai en horreur)
présage la grossesse
ou tes gros mensonges.
Je ne veux pas que mes rêves soient comme vos RTT.
Qu’ils ne me soient jamais payés,
Que je ne puisse jamais les poser.
Aux médisants suceurs de cannes,
Putain de vos races, dorénavant
en avant
Yes We Can
Un rat dans le ventre
à l’appétit putain de vorace.
L’oiseau et son nid
Le ruisseau et son lit.
Un peu trop crédule, vivant comme les autres
un peu trop à crédit, je crèverai comme ça que veux-tu.
Les paroles c’est comme des graines.
Parole de vie ou parole de mort,
L’eau de la source n’a pas le même goût,
Je vais dormir comme Elie, on verra demain.
Même le Christ a transpiré du sang,
Et quand sur la croix il pense que Il l’a abandonné,
moi j’ai toujours pensé,
Qu’Il était à l’interphone et qu’Il a coupé,
le temps de descendre et d’ouvrir la porte qu’a tendance à coincer.
Il voulait juste à boire et on lui a donné du vinaigre.
Je voulais juste qu’on s’aime
but you prefer that we remain friends .
Mo’ money Mo problems.
Je veux ta réussite,
je veux tes loisirs,
je veux ta femme,
je veux ta chute,
je veux ta voiture.
Je veux tout.
Et quand j’aurai fini ,
je me chercherai à Dieu.
J’me présente, je m’appelle Henri.
Je lève mon verre à celles et ceux qui font passer des lanternes pour des vessies,
Une méthode ancestrale ou un pet’nat dans les Nachtmann à Vessiere.
La vengeance se mange froide et avec les doigts, ça fait moins de vaisselle.
Ca vient d’un Beaujolais indépendant,
Du rap et du rock’n roll,
pas forcément indémodable,
toujours rester humble.
MotorHead – Love me like a reptile
Jackson Five – Can you feel it
Daniel Balavoine – Le chanteur
Michel Fugain – Attention Mesdames et Messieurs
Sangohan – vs Cell Juniors (Japanese)
Vladimir Cosma – Générique Inspecteur La Bavure
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